Se réchauffer le coeur
C'est dimanche,
Pas d'autres perspectives :
- qu'un hiver froid
- qu'un temps maussade
- qu'un avenir difficile
- qu'un Petit Prince qui tourne tout seul
- qu'une Grande Princesse dansant solitaire dans le salon
C'est le moment de se laisser happer par la solide amitié d'un coup de fil vous invitant abruptement pour le lendemain. C'est alors que votre dimanche d'hiver devient :
- un repas convivial pris dans le bruissement des conversations
- un Petit Prince qui tourne avec un autre (plus grand !) Prince dans de grands éclats de rire
- une Grande Princesse qui nous joue un spectacle
- les papotages
- de la musique, de la musique, de la musique (parce qu'il y a autant d'instruments de toutes tailles que de personnes, sans compter nos possibilités vocales)
- sans compter le café dans une tasse sarde et le thé dans une bol de grès
- un oeuf de poule découvert dans le poulailler
- un petit concert de contebasse, tandis que Petit Prince réveillé brusquement dans la perspective de notre départ, sirote son biberon, oubliant ses pleurs au son grave de ce géant (pa-pa-pa-padam-padampadampadam)
... et j'en oublie sûrement.
D'où cette douce maxime :
Au lieu de ramasser vos chaussettes, solitaires, dans le froid de l'hiver
Réchauffez-vous à l'amitié, au vrai, au solide, celui qui donne envie lundi de retourner à vos fauves (qu'ils soient 27 élèves ou 6 collègues de bureau ; )
En conclusion, je vous offre les derniers vers d'un poème de Verlaine La Belle au bois dormait :
"Et nous joignons l'auberge, enchantés, esquintés,
Le bon coin où se coupe et se trempe la soupe !"
Merci à vous. Ce dimanche dans cette maison du sourire aura été pour nous comme des vacances à la mer... A bientôt.
L'amitié est comme un feu de bûches solides
Il réchauffe le coeur des égarés
Et indique le chemin
De ceux qui sont perdus
Pas d'autres perspectives :
- qu'un hiver froid
- qu'un temps maussade
- qu'un avenir difficile
- qu'un Petit Prince qui tourne tout seul
- qu'une Grande Princesse dansant solitaire dans le salon
C'est le moment de se laisser happer par la solide amitié d'un coup de fil vous invitant abruptement pour le lendemain. C'est alors que votre dimanche d'hiver devient :
- un repas convivial pris dans le bruissement des conversations
- un Petit Prince qui tourne avec un autre (plus grand !) Prince dans de grands éclats de rire
- une Grande Princesse qui nous joue un spectacle
- les papotages
- de la musique, de la musique, de la musique (parce qu'il y a autant d'instruments de toutes tailles que de personnes, sans compter nos possibilités vocales)
- sans compter le café dans une tasse sarde et le thé dans une bol de grès
- un oeuf de poule découvert dans le poulailler
- un petit concert de contebasse, tandis que Petit Prince réveillé brusquement dans la perspective de notre départ, sirote son biberon, oubliant ses pleurs au son grave de ce géant (pa-pa-pa-padam-padampadampadam)
... et j'en oublie sûrement.
D'où cette douce maxime :
Au lieu de ramasser vos chaussettes, solitaires, dans le froid de l'hiver
Réchauffez-vous à l'amitié, au vrai, au solide, celui qui donne envie lundi de retourner à vos fauves (qu'ils soient 27 élèves ou 6 collègues de bureau ; )
En conclusion, je vous offre les derniers vers d'un poème de Verlaine La Belle au bois dormait :
"Et nous joignons l'auberge, enchantés, esquintés,
Le bon coin où se coupe et se trempe la soupe !"
Merci à vous. Ce dimanche dans cette maison du sourire aura été pour nous comme des vacances à la mer... A bientôt.
L'amitié est comme un feu de bûches solides
Il réchauffe le coeur des égarés
Et indique le chemin
De ceux qui sont perdus